Lors de nos recherches sur les prothèses, nous avons découvert un nouveau type de prothèse relié au corps humain par le système nerveux et capable de reproduire de nombreux mouvements, " Les prothèses bioniques ".

 

Ces nouvelles prothèses ont permis de réduire les risques liés à l'intolérance et aux rejets, ainsi que de rendre une part de mobilité aux personnes handicapées.

 

Cependant, elles présentent tout de même quelques désavantages comme leur prix très onéreux, leur poids, les matériaux utilisés pour les fabriquer, les interventions qui peuvent échouer, et l'incapacité à effectuer l'intégralité des mouvements du corps humain. La science n'est pour l'instant pas en mesure de le copier identiquement.

 

Nous pouvons donc conclure que la prothèse bionique est sans doute la prothèse de demain. Son efficacité est déjà notable, et n'est donc qu'un début, sachant que les premières prothèses ne datent seulement que des années 2 000. Les améliorations technologiques et médicales ne cessent de la faire évoluer, tant sur le plan des prouesses techniques pour se rapprocher aux plus près de la gestuelle du corps humain, tant dans le bien être des personnes porteuses.

On pourrait donc être amené à se demander si des limites à la science et à l'amélioration du corps humain seraient possibles ?